Durant la nuit qui précéda cette conversation, Triss Merigold et Yennefer de Vanderberg s’étaient retrouvées d’un commun accord dans un endroit secret, pour discuter de leurs sentiments envers le sorceleur.

Ménage à trois, la vérité sur la soirée entre Triss et Yennefer

Triss : J’aurais compris qu’il te choisisse toi… Tu es très belle, et puissante Yen…

Yennefer : Geralt à bon goût, c’est évident… Mais je crois que s’il avait à choisir entre toi ou moi, ce serait toi… Tu es si douce Triss, et terriblement belle aussi…

Triss rougit, et exposa son idée à Yennefer.

Après cette discussion, elles conclurent une entente.

Triss : Tu es certaine de vouloir faire cela Yen ?

Yennefer : Tu sais que je ne te porte pas dans mon cœur Triss, mais nous aurions pu être de grandes amies si Geralt n’avait pas joué avec nos sentiments…

Triss : Oui, c’est vrai… Et j’espère encore que nous pourrons le devenir un jour.

Yennefer : Moi aussi… et je ne veux rien regretter si Eredin nous tue tous…

Triss : Nous devons le vaincre, et rattraper le temps perdu…

Yennefer… Essayons toujours, Triss…

Le lendemain matin…

Au réveil de Geralt, Triss et Yennefer étaient là toutes les deux. Avant leurs prochaines actions contre Eredin et la Chasse Sauvage, elles souhaitèrent toutes deux discuter avec le sorceleur.

Yennefer : Geralt… Geralt, réveille-toi.

Geralt : Hein… Quoi ? Yen… Qu’est-ce qui se passe ?

Triss : Réveille-toi, Geralt.

Geralt : Triss ? Qu’est-ce que… Qu’est-ce que tu fais là ?

Triss : On voudrait te parler.

Geralt : Vous me cachez quelque chose ? Que se passe-t-il ?

Yennefer : Détends-toi, Geralt.

Triss : Yen et moi, nous avons eu une longue discussion…

Yennefer : Nous avons perdu trop de temps à nous battre… pour toi.

Triss : Nous allons bientôt devoir affronter la Chasse Sauvage, peut-être Eredin lui-même… et qui sait ce qui pourrait arriver ?

Yennefer : Nous avons donc décidé de profiter pleinement du temps qui nous reste. Ensemble.

Geralt : Ensemble ? Allez-y…

Triss : Nous t’aimons toutes les deux, et tu nous aimes, toi aussi…

Yennefer : Au lieu de nous battre, pourquoi ne pas profiter de ce que nous avons ?

Triss : Nous t’avons préparé une surprise.

Yennefer : Viens au Martin-pêcheur ce soir…

Triss : Apporte du vin. Beaucoup de vin.

Yennefer : A plus tard, mon amour, dit Yennefer en quittant la chambre.

Triss : Vivement ce soir, ajouta Triss en partant elle aussi.

Geralt : Ça promet d’être intéressant… termina Geralt, impatient d’être à ce soir.

Plus tard, après une journée difficile à chasser des monstres et à aider les citoyens de Novigrad, Geralt se rendit, comme prévu, le sourire aux lèvres, au Martin-pêcheur, dans sa plus belle tenue, avec les bouteilles de vin que Triss lui avait demandé d’apporter. Il toqua à la porte et entra. Les deux magiciennes étaient là, elle l’attendait avec impatience, et elles avaient commencées à se dévêtir, elles étaient déjà en lingerie, la coupe à la main, et avaient déjà bien bu.

Yennefer : Je pensais que tu ne viendrais plus. Dit-elle en se blottissant contre Geralt.

Triss : Tu arrives à temps, Geralt. Ajouta Triss en faisant de même.

Triss arracha la bouteille des mains de Geralt et commença à servir, alors que Yen commençait à chauffer le sorceleur en l’invitant à se déshabiller. Une fois nu, Yen le poussa sauvagement dans le grand lit, où Triss l’attendait déjà.

Les deux coquines commencèrent à caresser l’élu de leur coeur, et se laissèrent tripoter quelque peu…

Alors qu’il était totalement soumis à elles, elles s’embrassèrent furtivement avant de le menotter solidement au lit. Elles prirent une nouvelle coupe de vin, en se lançant des regards langoureux, mais Geralt n’avait pas dit son dernier mot :

Geralt : Et moi alors ? Je n’ai droit à rien ?

Triss : Toi, tu as…

Yennefer : …exactement ce que tu mérites.

Les deux vicelardes lui avaient tendu un piège. Après avoir joué avec les sentiments de toutes les deux, il se retrouvait nu et attaché au lit, avec comme punissions de les regarder toutes les deux, en lingerie de soie, trinquant au bon déroulement de leur plan machiavélique.

Geralt : Hé ! Ça ne me fait pas rire !

Les deux filles quittèrent la chambre pour aller se réfugier dans la pièce adjacente, alors que le sorceleur se débattait.

Geralt : Revenez ! Triss ! Yen !

Alors que Geralt s’égosillait de l’autre côté du mur, Triss et Yennefer se rapprochèrent et buvèrent une coupe en commençant à danser lascivement. Tout en riant et en sirotant leur breuvage, qui les rendait de plus en plus joyeuses, elles se mirent à s’embrasser sur les lèvres.

Yennefer empoigna le cou de Triss pour l’attirer vers elle et l’embrassa avec la langue vigoureusement. Les deux magiciennes s’échangeaient de doux baisers, mais Yen décida de passer à la vitesse supérieure. Elle commença à descendre sur le cou de Triss et commença à la croquer délicatement pour la faire frissonner. Puis elle descendit pour embrasser son buste et ses épaules.

Triss retira son soutien-gorge de soie et laissa apparaitre sa poitrine généreuse devant les yeux écarquillés de Yen.

Yennefer : Wow, quelle poitrine ! Je comprends pourquoi Geralt t’aime autant, tu as des seins si magnifiques Triss…

Yen commença à embrasser les gros seins de Triss, puis lécha ses mamelons déjà bandés. Elle commence ça les téter douloureusement pour exciter Triss et celle-ci gémissait doucement. Triss se dirigea alors sur le lit en attrapant Yennefer par la main pou la suite. Elle s’allongea sur le dos.

Triss : Caresse-moi… j’aime tes mains…

Yennefer commença masser le corps de Triss puis joua encore un peu avec ses seins, avant de recommencer à les embrasser. Délicatement, elle descendit vers le nombril de la belle rousse et le lui lécha. Elle n’osa pas tout de suite descendre plus bas, mais Triss prit les devants. Elle retira sa culotte, laissant apparaitre sous les yeux gourmands de Yennefer, une jolie petite chatte rasée et dodue, déjà toute mouillés…

Yennefer embrassa le pubis lisse de sa consœur de la loge et commença à glisser sa langue experte entre les lèvres de celle-ci. Yennefer lécha le clitoris de Triss, qui gémissait à chaque coup de langue. Yennefer n’en était pas à sa première expérience lesbienne, ni Triss d’ailleurs, et elle savait que faire pour faire jouir la belle. Elle pénétra ses doigts dans le vagin de Triss, et fit des va et viens en continuant de lécher cette jolie chatte.

Alors que Triss empoigna fermement la tête de Yennefer pour mieux sentir ses coups de langue dans son vagin, les jambes repliées et écartées, totalement offertes, elle décida à son tour de gouter à l’intimité de sa rivale. Elle prit Yenn par les hanches et la dirigea vers la position qu’elle souhaitait prendre pour se faire plaisir. Elle s’était allongée et demanda à Yen de chevaucher sa tête afin qu’elle lui lèche la chatte à son tour.

Pendant que Yennefer se faisait prendre par la langue de Triss, elle se restait pas inactive, elle doigtait cette dernière lui donner du plaisir. Triss ne pouvait pas hurler, elle avait la bouche pleine de la vulve de la grande brune. Sa chatte était si bonne, qu’elle l’a butinait les yeux fermés, voracement, en oubliant le temps qui passait.

Yennefer hurlait de plaisir, sentant la langue experte de Triss pénétrer le moindre recoin de son intimité, et se laissa aller à jouir sauvagement. Mais elle en voulait encore, et encore… les deux magiciennes étaient assoiffées de sexe et leurs ébats avaient duré la moitié de la nuit. Mais elles étaient loin d’en avoir terminé. Les deux vicelardes décidèrent naturellement de se frotter chatte contre chatte, dans la position du ciseau. Triss prit bien soin de frotter son clito contre celui de Yen, pour lui donner du plaisir, et la faire encore jouir. Elles avaient leurs chattes tellement mouillées, que les draps étaient trempés… Elle mouillait de jouissance et hurlait, sans se soucier du pauvre Geralt qui s’agaçait dans l’autre pièce, frustré de les entendre jouir.

Après des heures de sexe lesbiennes d’une intensité que même Geralt n’aurait pas supportée, les deux magiciennes se blottirent l’un contre l’autre et s’endormirent paisiblement, la libido largement comblée par ces ébats amoureux…

Le lendemain matin…

Jaskier : Eh bien, mon pauvre Geralt, elles se sont bien moquées de toi.

Geralt : Garde tes sarcasmes, je ne suis pas d’humeur…

Geralt s’était réveillé énervé et s’était fait délivré par Jaskier, qui s’amusait beaucoup de cette situation, mais le sorceleur savait que maintenant, il pouvait un jour espérer un Ménage à trois, avec ses deux amantes : Triss Merigold et Yennefer de Vanderberg., les deux plus belles femmes de Temeria…